Pépites à partager

Objectif : Se mettre en mouvement pour le climat et la biodiversité

Sommes nous capables de renverser la tendance face au changement climatique ? Pensez-vous que l’être humain est (souvent) capable du pire comme (parfois) du meilleur ? Comment garder espoir ?

La formation que j’ai suivie entre 2021-2023 à l’Université Paris Dauphine m’a permis de renouer le contact avec le monde de la recherche. Je vous partage ici quelques jolies pépites qui m'aident à réfléchir, à avancer et nourrir mon espérance.

La diversité sous toutes ses formes au cœur d'une action économique collective durable

Le tableau général : une grande diversité humaine et non-humaine dans une même organisation économique

La coopérative que j'ai étudié a plus de 30 ans aujourd'hui. Elle regroupe une cinquantaine de productrices et producteurs qui font de la cueillette de plantes sauvages et/ou de la culture de plantes aromatiques et médicinales sur de petites surfaces dans leurs fermes. Leur activité dépend très fortement et directement de la biodiversité, comme finalement toutes les organisations humaines (même si nous l'avons oublié).

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Se mettre en mouvement par la force des utopies

Coopération, coopératives, démocratie et commerce équitable

Toujours à la recherche de pistes pour lutter contre l'inaction face aux défis posés par le dépassement des limites planétaires, je me suis intéressée à HENRI DESROCHE (1914-1994), sociologue, théologien et philosophe français. Il était spécialiste des coopératives auxquelles il a consacré une grande partie de sa vie. Il a écrit en 1976 "Le Projet coopératif. Son utopie et sa pratique, Ses appareils et ses réseaux. Ses espérances et ses déconvenues", un livre de 464 pages, aux Éditions Ouvrières.

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Eloge des simples et de la simplicité

Appelées à partir du 15e siècle "les simples", les plantes médicinales sont aujourd'hui au cœur de l’action collective de la coopérative, avec laquelle j'ai travaillé pendant ma formation à Paris Dauphine. Ces plantes permettent à des cueilleurs de plantes sauvages et des productrices et producteurs de plantes aromatiques et médicinales, de tout simplement "vivre dignement" de leur métier. S'ils dépendent directement de la biodiversité, ils sont bien conscients de l'importance d'en prendre soin. Leur aventure dure depuis plus de 30 ans et j'ai adoré partager un peu de temps avec elles - eux.

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Atelier 2tonnes versus le syndrome de l'autruche

J'ai fait récemment un atelier 2tonnes et je ne m'attendais pas à cela.

J'étais venue un peu en trainant des pieds, j'avais déjà fait mon empreinte carbone et je savais l'immense effort à fournir pour le diminuer. En fait, je n'y croyais plus. Et pourtant... Rien que de l'écrire, je ressens encore cette joie lorsque notre groupe a réussi à atteindre l'objectif ! ...

Cela m'a rappelé l’été 2021. J’ai lu avec avidité les premiers chapitres du livre de George Marshall 'Le syndrome de l’autruche'. J'étais très impatiente de savoir comment il s'explique que notre cerveau veut ignorer le changement climatique et s'il y a des remèdes à cela.

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Le Règne animal : quel lien avons-nous avec le «sauvage» ?

Je voudrais vous partager ce que j’ai aimé dans ce film, "Le Règne animal", sans spoiler, c’est promis.

Tout d’abord, de façon très attendue, j’ai aimé le côté science-fiction : "Le Règne animal" montre des femmes et des hommes qui se transforment de manière inexpliquée en «bestioles», choix qui amène évidemment à des effets spéciaux. S’ils sont parfois un peu dégoûtants, ils ont tout de même un certain charme, voire ils sont très attirants. Vous n’avez jamais rêvé d'être un oiseau ou un animal marin ? Cela m’arrive.

Puis, de manière plus inattendue, j’ai ri. J’ai été émue aussi. Et bien sûr, j’ai été accrochée par les questions qui se posent du vivre ensemble (ou pas), du rapport à l’autre, de la différence qui fait peur et qu’on rejette.

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